Les médias rapportaient récemment que de nombreux enseignant(e)s québécois se font voler leur identité par des malfrats qui l’utilisent pour commettre différentes fraudes. Les renseignements personnels clés des enseignants seraient ainsi utilisés pour obtenir frauduleusement des cartes de crédit, activer des téléphones cellulaires, etc.
Le problème est loin d’être limité à une école ou même à une seule commission scolaire, car on compterait des victimes dans des régions aussi distinctes que Drummondville, Gatineau, Québec et Montréal. Compte tenu du groupe ciblé, il est difficile de penser que l’explication s’avère autre qu’une violation par les criminels en question de la sécurité d’une base de données liée au ministère de l’Éducation.
L’enquête policière poursuit son cours, mais, pendant ce temps, comme toujours, c’est aux victimes de se débrouiller avec le casse-tête de composer avec les fraudes perpétrées en leur nom.